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24/03/2015

Journal

Il pleut des lettres.

Il est des éditeurs, tel Grasset, qui vendraient mère et juifs pour éjaculer du bouquin, qui se conforment aux Diktats nazis et devancent les mesures Pétainistes pour exister sur le devant de l'horrible scène. Ça existe. C'est fort blâmable, mais ça rapporte gros (cf. le 52 min de Marthe Le More).

Mickael Feugray parapluie

Et puis, il est des éditeurs qui font des choix personnels, intransigeants, modestes, qui se battent pour leurs idéaux avec trois bouts de ficelles, prêts à se vautrer. La quête n'est pas la planche à billets, juste l'exigence de leurs convictions. Barbara Cordier est de ceux-là. Elle fait le pari du transgressif et des courants contraires, au risque de déplaire. C'est fort blâmable, et ça ne rapporte rien.

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Pour ces éditeurs, chaque livre vendu est un encouragement, le bouche-à-bouche un fond de commerce. Son anthologie sur les Maisons hantées sort le 17 avril 2015 (je vous en reparlerai). Vous pouvez cependant vous procurer l'ouvrage illustré, à prix réduit pendant 15 jours et en prévente sur son site des éditions Luciférines. J'y signe une nouvelle où je saigne, comme il est d'usage aux Luciférines.

Écrit par Mickael Feugray dans Journal | Commentaires (0) |  Facebook |

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